Ashram en ligne
Son nom est Pranavananda Brahmendra Avadutta Swamigal, mais tous l'appellent Swami. En tout cas, depuis sa conversion à l'hindouisme, plus personne ne songe à utiliser le « Christian
Fabre » inscrit sur la carte d'identité de ce Biterrois de naissance. Désormais, il passe la plupart de son temps dans son ashram, un ermitage perdu dans la forêt, à quelques centaines de kilomètres de Chennai, en Inde du Sud.
Mais décidément, Swami se révèle plein de surprises. Ainsi ne faut-il pas tout à fait se fier à la longue barbe blanche du moine vêtu d'un drapé safran. La moitié de son temps, il s'active dans
les locaux flambant neufs de Fashions International, dans la ville de Chennai... L'homme est bel et bien le dirigeant de cette entreprise de textile en pleine croissance, qui réalise 10 millions d'euros de chiffre d'affaires.
Au sein même de son ermitage, le patron, entouré de fidèles Indiens qui lui vouent une véritable admiration, garde un contact régulier avec le monde extérieur : « Durant les quinze jours que je passe chaque mois dans l'ashram, je dispose d'une connexion internet par satellite et d'un téléphone qui m'aident à gérer à distance certaines urgences... » Loin de l'image qu'un Européen
peut se faire d'un religieux, cet homme de communication féru de nouvelles technologies, aussi à l'aise face à son écran plat que dans son rôle de fidèle du dieu Shiva, s'est même offert un site
internet moderne et interactif, comprenant une galerie de photos, des coupures de presse et des reportages vidéo qui lui sont consacrés. Et quand il ne médite pas, Swami communique parfois en direct avec les internautes sur son forum de discussion.
Une double vie qui, pour lui, n'en est pas une. « Je suis Swami du matin jusqu'au soir, y compris lorsque j'exerce mon activité d'homme d'affaires. Il ne faut pas chercher une quelconque dichotomie dans ma façon d'appréhender mes journées , explique-t-il. Je peux recevoir un appel professionnel des Etats-Unis, puis rencontrer un visiteur de l'ashram. Je passe de l'un à l'autre sans aucun problème. »
source: Caroline Dupuy - 01 Informatique
Fabre » inscrit sur la carte d'identité de ce Biterrois de naissance. Désormais, il passe la plupart de son temps dans son ashram, un ermitage perdu dans la forêt, à quelques centaines de kilomètres de Chennai, en Inde du Sud.
Mais décidément, Swami se révèle plein de surprises. Ainsi ne faut-il pas tout à fait se fier à la longue barbe blanche du moine vêtu d'un drapé safran. La moitié de son temps, il s'active dans
les locaux flambant neufs de Fashions International, dans la ville de Chennai... L'homme est bel et bien le dirigeant de cette entreprise de textile en pleine croissance, qui réalise 10 millions d'euros de chiffre d'affaires.
Au sein même de son ermitage, le patron, entouré de fidèles Indiens qui lui vouent une véritable admiration, garde un contact régulier avec le monde extérieur : « Durant les quinze jours que je passe chaque mois dans l'ashram, je dispose d'une connexion internet par satellite et d'un téléphone qui m'aident à gérer à distance certaines urgences... » Loin de l'image qu'un Européen
peut se faire d'un religieux, cet homme de communication féru de nouvelles technologies, aussi à l'aise face à son écran plat que dans son rôle de fidèle du dieu Shiva, s'est même offert un site
internet moderne et interactif, comprenant une galerie de photos, des coupures de presse et des reportages vidéo qui lui sont consacrés. Et quand il ne médite pas, Swami communique parfois en direct avec les internautes sur son forum de discussion.
Une double vie qui, pour lui, n'en est pas une. « Je suis Swami du matin jusqu'au soir, y compris lorsque j'exerce mon activité d'homme d'affaires. Il ne faut pas chercher une quelconque dichotomie dans ma façon d'appréhender mes journées , explique-t-il. Je peux recevoir un appel professionnel des Etats-Unis, puis rencontrer un visiteur de l'ashram. Je passe de l'un à l'autre sans aucun problème. »
source: Caroline Dupuy - 01 Informatique
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